Le 9 décembre 2024, il sera trop tard. L’Eras tour, folle tournée à travers le monde de la nouvelle fiancée de l’Amérique, Taylor Swift, sera finie. Trois heures de show à la Mylène Farmer, en reprenant l’ensemble des tubes de sa carrière débutée à 8 ans. Celle, que les plus de 30 ans ont découverte avec son chat dans les bras; un tweet attendu comme un oracle depuis des semaines, annonçant à mots très choisis qu’elle voterait pour Kamala Harris. Avec son demi milliards de followers, on attendait une vague en faveur de la candidate démocrate- la suite a montré le contraire. Sans doute beaucoup de Swifties-ses fans-majoritairement des femmes, ont elles été étonné que cette jeune fille de 34 ans, blanche, en couple avec le capitaine d’équipe de football américain, ne soit pas conforme à son cliché conservateur. Mais non, celle que ses parents ont appelé Taylor, pour que son prénom ne soit pas « genré » si elle voulait faire trader dans la finance, n’en fait qu’à sa tête de blonde vraiment « smart ». Interviewée sur un plateau de TV américaine, elle fixe l’objectif avec un charisme déroutant. Cette puissance, rapidité, elle ne perd pas de temps, sur scène dès huit ans, avec sa grande guitare de country, comme si l’urgence s’mposait. Qu’il fallait Shake it off. Sans doute la première présidente américaine, il reste aux électeurs et Taylor, trente ans. De quoi voir si cette gourou de l’amour, une sorte de Jésus réincarné en femme, s’impose un jour, après huit ans de présidence de Donald Trump. La dame a de quoi y arriver; déjà
AW
Le clip endiablé de Shake it off