On aboie sur...
...ce cher Alain Terzian
Souffrant comme dans toute corporation d’opacité, l’Académie des Césars a de plus à sa tête, un homme pour le moins affable, Alain Terzian. Lequel se plaît à diviser en deux catégories notre profession-les bons et les mauvais journalistes. Dans la première entrent ceux qui, spécialisés en cinéma sont des béni-oui-oui à l’image de Laurent Weill sur Canal Plus. Dans l’autre, votre serviteur qu’il a tenté d’intimider en appelant le directeur de la rédaction du Parisien, n’ayant même pas retenu ni mon nom ni celui de Jim le Pariser…La dernière fois que cela m’est arrivé, c’était comme étudiante en journalisme, avec un procédé qu’avait utilisé un certain… Nicolas Sarkozy, alors porte-parole du gouvernement. Un ancien président, ce qui finira bien par arriver un jour à monsieur Terzian…